Sur un chantier de construction, on parle souvent de plans, de matériaux, d’échéanciers et de sécurité. Mais derrière chaque structure qui s’élève, il y a un élément invisible, mais essentiel : la cohésion d’équipe. Et au cœur de cette cohésion, un rôle clé agit souvent dans l’ombre, avec doigté, fermeté et beaucoup de cœur : celui du contremaître.
Bien plus qu’un superviseur
Chez AGF, le contremaître en construction n’est pas seulement celui qui organise le travail ou s’assure du respect des délais. Il est le pont entre la direction et les équipes de terrain. C’est lui qui traduit les objectifs de l’entreprise en actions concrètes, mais surtout en relations humaines.
Comme le souligne Jean-Sébastien Richer, contremaître chez AGF : « Quand le contremaître prend soin de son équipe, ça crée un climat plus agréable ». Ce souci du bien-être va bien au-delà des tâches techniques. Il connaît les prénoms, les forces et les défis de chacun. Il sent quand un collègue est fatigué, frustré ou démotivé. Il célèbre les victoires collectives, apaise les tensions et agit comme un repère. Grâce à lui, les équipes avancent non pas en parallèle, mais ensemble.
Créer un climat de confiance
La cohésion d’équipe sur le chantier ne se décrète pas, elle se construit et ça commence par la confiance. Jean-Sébastien insiste : « C’est important de créer un climat de confiance où chaque employé se sent à l’aise de parler s’il remarque quelque chose d’inhabituel ou s’il ne se sent pas bien ».
Un bon contremaître est à l’écoute, surtout en matière de sécurité. Il fait en sorte que chaque employé sache qu’il sera écouté et soutenu. Il instaure des communications claires, prend le temps chaque matin d’expliquer le plan de la journée, pour que « les employés sachent où ils s’en vont ». Cette clarté réduit les malentendus et facilite la collaboration.
Il valorise aussi les bons coups : « Je dis toujours merci à mes employés à la fin de la journée ». Ce geste simple a un effet puissant, mentionne Jean-Sébastien. Ça renforce la confiance et la motivation au sein de l’équipe.
Un leadership de proximité
Ce qui distingue un bon contremaître chez AGF, c’est sa présence. Il ne dirige pas à distance. Il est sur le terrain, au même rythme que ses équipes. Il fait des tournées, jase avec l’équipe et s’assure que tout va bien. Comme le dit Jean-Sébastien :
« Ça permet de maintenir un lien de proximité avec chaque coéquipier ».
Ce leadership de proximité favorise un environnement de travail humain et respectueux. Il forme sans juger, exige sans écraser. Lorsqu’il y a une erreur, il préfère discuter calmement et chercher la solution plutôt que de blâmer : l’important, ce n’est pas l’erreur, c’est comment on s’ajuste.
Le moteur invisible de la performance collective
Dans un contexte où les défis de main-d’œuvre sont nombreux, où la pression sur les délais est constante et où la sécurité ne peut jamais être compromise, les contremaîtres de la construction jouent un rôle stratégique. Ce sont eux qui créent les conditions pour que les équipes soient soudées, mobilisées et engagées.
« Une équipe qui se sent bien sur le chantier, c’est une équipe qui est plus prête à donner un coup de main » et cette dynamique positive rejaillit aussi sur le client. Un chantier où règne l’harmonie inspire confiance.
« On a l’air motivés et en contrôle. Pas à bout ou en panique. »
Des bâtisseurs d’humain
On dit souvent que les contremaîtres construisent des édifices, mais ce qu’on oublie parfois, c’est qu’ils construisent aussi des équipes solides et unies. À travers leur écoute, leur présence et leur leadership, ils façonnent bien plus que des structures : ils donnent forme à la culture d’entreprise sur le terrain.
Chez AGF, chaque projet bien mené porte l’empreinte discrète mais décisive d’un contremaître en construction comme Jean-Sébastien, qui a su mettre les bonnes personnes ensemble, au bon moment, pour avancer dans la même direction.
Parce qu’au fond, c’est ça, la vraie force d’une équipe : avancer en sachant qu’on peut compter les uns sur les autres.