À une époque où tout va vite, nombre de travailleurs sont tentés de « sacrifier » leur heure de lunch. Cependant, il n’est pas toujours possible d’enfiler sept, huit, neuf ou dix heures de travail successives sans éprouver de la fatigue. Qu’on profite de la pause du midi pour relâcher son attention ou pour optimiser ses activités, la façon d’occuper cette période mérite qu’on s’y attarde.
De bonnes raisons de faire une pause
Pourquoi lâcher prise à l’heure du dîner? Bien utilisée, cette pause permet aux travailleurs de diminuer la pression, de briser la monotonie des actes répétitifs et de reprendre son souffle grâce à un moment de liberté. Quels que soient les avantages de ce temps d’arrêt au milieu de la journée, l’art et la manière d’en profiter favoriseraient la productivité de tous.
Il existe plusieurs types de pauses adaptés aux goûts de chacun :
– La pause sportive : pour se défouler, garder la forme physique, faire le vide dans sa tête ou prendre du recul, les activités sportives sont tout indiquées.
– La pause détente : pour relaxer et relâcher la pression, la pause zen se déploie en de multiples activités : yoga, exercices de respiration et d’assouplissement, musique, lecture, promenade, méditation, etc.
– La pause utile : Pour gagner du temps ou rattraper un retard, ajouter des cordes à son arc ou régler des affaires personnelles, la pause se fait utile. Pour certains à planifier une activité ou un voyage, à organiser leur agenda, à faire un achat, etc. D’autres préfèrent disposer de ce temps pour améliorer une compétence (comme l’apprentissage d’une langue).
– La pause relationnelle : Pour passer du temps avec des amis, cultiver ses relations ou étendre son réseau, la pause relationnelle est l’occasion d’entretenir ou d’enrichir des liens sociaux et professionnels.
Finalement, lorsque l’heure du lunch est consacrée à dîner ensemble, autant en profiter pour en faire un moment agréable. Privilégier l’humour favorise la bonne humeur collective!
En vous souhaitant de belles heures de lunch!
L’équipe des ressources humaines
(Source : Effectif, volume 14, numéro 1)